Réunis en assemblée générale le 20 mars dernier, les experts comptables membres de l’ONEC en ont profité à la fois pour approuver les comptes de l’exercice 2020, voter le budget de l’exercice 2021 et adopter les modalités de contrôle de leur obligation de formation. Outre ces aspects techniques et financiers, les membres de l’ONEC en ont également profité pour dresser un bilan de la situation économique du pays.
Tenue dans la salle de conférence de l’IEF (Institut de l’Economie et des Finances) le 20 mars dernier, l’assemblée générale de l’Ordre National des Experts-comptables (ONEC) a permis à ses membres d’évaluer la situation financière de cette entité. Ainsi, il était question au cours de cette séance de travail, d’approuver les comptes de l’exercice 2020, mais également de voter le budget de l’exercice 2021.
En effet, en dépit d’un contexte économique peu favorable, l’ONEC a été en mesure de certifier sans réserve les comptes de l’exercice 2020. Un fait qui a notamment permis au Commissaire aux comptes chargé de cette mission, de donner un quitus entier au Conseil de l’Ordre, qui a par la suite voté les résolutions sur le budget de l’exercice 2021 et adopté les modalités de contrôle de l’obligation de formation des membres.
Évaluant par la suite la situation globale de l’économie gabonaise fortement marquée par la crise sanitaire actuelle, l’assemblée générale s’est félicitée de la contribution de l’ONEC à la réflexion initiée en mars et avril 2020 par le gouvernement, tout en se réjouissant de la mobilisation quotidienne des experts-comptables auprès des PME/PMI et TPE durant cette période difficile.
Loin de se montrer alarmiste quant au regain de croissance espéré, l’Ordre des experts s’est dit confiant « sur les capacités globales de résilience de l’économie gabonaise ». Une économie qui, bien qu’éprouvée, continue d’attirer investissements et partenariats, comme une preuve du dynamisme de certains de ces acteurs. A noter que l’assemblée générale du 20 mars dernier a également permis à l’ONEC d’adopter les modalités de contrôle de l’obligation de formation des membres.