Cerner les difficultés pour mieux poser le diagnostic et dégager les solutions adéquates. C'est le sens de la visite du ministre Oyoubi au Centre d'appui à la pêche artisanale de Libreville, hier.
Pêche et aquaculture
Le ministre de l'Agriculture, de l’Élevage, de la Pêche et de la Sécurité alimentaire, Luc Oyoubi, et des hauts cadres de son administration, sont allés, hier matin, à la rencontre des principaux acteurs de cette infrastructure : administration technique en charge des questions de pêche artisanale, cellule de gestion du Centre d'appui à la pêche artisanale de Libreville et les coopératives de pêcheurs, principaux utilisateurs de ce service.
Le ministre Oyoubi, qui a affirmé que « cette infrastructure n'a pas atteint sa vitesse de croisière », s'est employé à écouter les différentes parties prenantes, dans l'optique de dégager un plan d'actions opportun. Selon lui, ce plan devrait servir à compléter les infrastructures manquant pour le bon fonctionnement de ce centre, à encourager à faire débarquer les captures au Capal, à élaborer des statistiques pour avoir une visibilité nette de la branche pêche artisanale et organiser la cohérence des interventions.