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60 partis politiques veulent la paix des braves pour ne pas casser le Gabon
Publié le jeudi 18 mars 2021  |  Gabon Actu
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© Autre presse par DR
Le nouveau chef d’État major des Forces armées gabonaises prend officiellement ses fonctions
Le général de Corps d’armées Ferdinand Gaspard Ollame Ndong a pris officiellement ses fonctions, ce lundi, 4 Juin 2018, au cours d’une cérémonie de passation de commandement présidée par le président de la République, Ali Bongo Ondimba, en sa qualité de Chef suprême des Forces de Défense et de sécurité.
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Quelques 60 partis politiques de la majorité et de l’opposition adhèrent à l’appel d’une paix des braves pour ne pas casser le Gabon à cause du radicalisme des uns et des autres dont la conséquence à très courte terme risque d’être un affrontement dommageable pour le pays.

Le projet est porté à bout de bras par une Commission ad hoc paritaire constituée des partis politiques de la majorité et de l’opposition, membres du Conseil national de la démocratie (CND).

La commission a été constituée le 2 mars dernier date à laquelle elle avait lancé cet appel à la paix de braves.

Pour faire aboutir cette initiative, la commission a initié des rencontres avec des responsables des institutions constitutionnelles, des chefs des partis politiques, ainsi que des représentants des institutions internationales et des missions diplomatiques.

L’appel doit déboucher sur un contrat social ou un pacte social entre fils et filles du Gabon dont l’objectif final est de construire le Gabon dans la paix.

Le comité dans une déclaration publique mardi s’est félicité de la tribune libre publiée par le Directeur du centre d’études politiques du Parti démocratique gabonais, Richard Ekazama. Celui-ci a écrit : « Le Grand Tribunal qu’est l’histoire ne reprochera jamais d’avoir initié un dialogue avec son adversaire, d’avoir toléré à son adversaire et d’avoir œuvré pour la Paix avec son adversaire ».

Plusieurs analystes politiques notent une rupture de dialogue entre certes classes politico-sociales ce qui fait craindre le risque des violences notamment avant ou après l’élection présidentielle prévue en 2023.
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