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«Je suis fier du nom que je porte» (Noureddin Bongo Valentin)
Publié le mardi 9 mars 2021  |  Gabon Review
Noureddin
© Autre presse par DR
Noureddin Bongo Valentin
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Accusé de diverses choses, y compris de vouloir succéder à son père à la tête du pays, le fils d’Ali Bongo dit être victime d’un délit de patronyme, mais assume totalement son nom et la mission qui lui a été confiée il y a plus d’un an, en tant que Coordinateur général des affaires présidentielles.

«Fake news», «enfantillages», «calomnies», «bavardage sans intérêt». C’est en ces termes que le Coordinateur des affaires présidentielles qualifie les rumeurs diffusées sur lui, sur les réseaux sociaux et dans certains médias. Depuis sa nomination aux côtés du président de la République Noureddin Bongo Valentin est en effet l’objet d’accusations diverses, y compris d’enrichissement illicite par certains acteurs de la société civile gabonaise. Et si le fils d’Ali Bongo a été totalement blanchi par la justice l’an dernier, les rumeurs sur sa prétendue volonté de succéder à son père ne l’ébranlent pas plus.

«Je ne suis pas homme à vaciller. Les rumeurs m’importent peu. Je me concentre sur mon travail au service du Gabon aux côtés du président de la République. Je n’ai pas de temps à perdre avec ce type d’enfantillages», réagit-il dans une interview accordée au site Agenceecofin.com.

«Je suis fier du nom que je porte et je sais que les Gabonaises et les Gabonais me jugeront sur les résultats, sur les améliorations significatives apportées à leur quotidien et non sur un délit de patronyme que certains, en manque d’arguments, agitent de manière pavlovienne», ajoute-t-il, précisant que sa fonction aux côtés du chef de l’État est loin d’être politique, mais que sa mission est de «se saisir de tout dossier qui concerne le président de la République».

Noureddin Bongo Valentin voit parmi les auteurs des rumeurs répandues sur lui «des responsables politiques, des commentateurs dans les médias ou des activistes sur les réseaux sociaux». Ceux-ci, estime-t-il, «représentent une infime minorité. L’écrasante majorité des Gabonais se lèvent le matin en pensant emploi, pouvoir d’achat, eau, électricité, éducation, santé, transport, logement».
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