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Gabon : La France veut contribuer à la « consolidation » du réseau des six écoles conventionnées
Publié le samedi 6 mars 2021  |  LaLibreville.com
L`ambassadeur
© LaLibreville.com par DR
L`ambassadeur de France a été reçu par le premier ministre gabonais
Vendredi 5 mars 2021. L`ambassadeur de France, Philippe Autié, reçu par le premier ministre gabonais, Rose Christiane Ossouka Raponda
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A sa demande, l’ambassadeur de France au Gabon, Philippe Autié, a été reçu ce vendredi par le premier ministre, Rose Christiane Ossouka Raponda. Il souhaitait l’entretenir de la « consolidation » du réseau des six écoles conventionnées que compte le pays, processus dans lequel la France veut prendre une part active.

Au nombre de six, réparties entre Libreville, Port-Gentil et Franceville, ces écoles, homologuées « Éducation nationale française », regroupent 2500 élèves, dont une grande majorité de Gabonais et 400 Français.

La France souhaite conclure à ce sujet un nouvel accord bilatéral avec le Gabon. « Nous devrions être en mesure avant la fin de ce semestre de signer un nouvel accord intergouvernemental franco-gabonais à ce sujet », veut croire l’ambassadeur qui s’est exprimé à l’issue de son entretien avec le premier ministre.

Ce qu’a confirmé le premier ministre gabonais sur sa page Facebook. « L’objectif commun au Gabon et à la France est de conclure à ce sujet un nouvel accord bilatéral redéfinissant les conditions de gouvernance de ce réseau et de l’assortir d’un financement dédié », a écrit Rose Christian Ossouka Raponda.

« L’éducation, une absolue priorité »

Cet accord viserait en effet à revoir la gouvernance de ce réseau d’écoles conventionnées afin notamment d’accorder un rôle consultatif à la France. En contrepartie, celle-ci s’impliquerait dans son financement. Celle-ci en particulier aurait besoin, selon le diplomate, d’une « réhabilitation mobilière ».

« La probabilité de parvenir rapidement à un accord est forte », veut croire lors des membres du cabinet de la Primature. Il faut dire que l’éducation étant considéré par le gouvernement gabonais comme « la clé du développement et de la compétitivité », selon l’expression employée par Rose Christiane Ossouka Raponda sur sa page page Facebook, il s’agissait pour elle d’« une absolue priorité ».
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