AU terme des travaux de la commission ad hoc chargée du Secrétariat de l'orientation scolaire, universitaire et professionnel (Sosup), le ministre de l'Éducation nationale, Patrick Mouguiama-Daouda a réuni hier les membres de ladite commission pour évaluer l'avancement de leurs réflexions
AU terme des travaux de la commission ad hoc chargée du Secrétariat de l'orientation scolaire, universitaire et professionnel (Sosup), le ministre de l'Éducation nationale, Patrick Mouguiama-Daouda a réuni hier les membres de ladite commission pour évaluer l'avancement de leurs réflexions. En présence du ministre des Affaires étrangères, Pacôme Moubelet Boubeya, de la ministre déléguée à l'Éducation nationale, Camélia Ntoutoume Leclercq, et des partenaires sociaux.
À cet effet, le secrétaire général de l'enseignement supérieur, Frédéric Mambenga Ylagou, a précisé que "cette rencontre avait pour but de statuer dans le cadre de l'orientation scolaire, universitaire et professionnelle. Il s'agissait pour cette première phase de préparer l'orientation des nouveaux bacheliers dans les structures d'enseignement public et privé, mais également de les préparer à l'insertion professionnelle. Il s'agit de pouvoir orienter stratégiquement les élèves vers les métiers à fort taux d'employabilité. Nous allons expérimenter l'orientation cette année avec 2 500 jeunes qui vont être insérés dans les programmes professionnalisants''.
Aussi, face au risque de surpeuplement des universités, Frédéric Mambenga Ylagou a rappelé que " contrairement aux années précédentes, cette année il n'y a que 1 350 bacheliers qui ont choisi les formations générales. Ce qui indique que les jeunes ont compris la nécessité d'aller dans des formations courtes qui mènent vers des emplois".