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Mensonges de «La Lettre du Continent»:Le Gabon va contrattaquer
Publié le samedi 28 novembre 2020  |  InfosGabon
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© Autre presse par DR
Le porte-parole de la Présidence, Jessye Ella Ekogha
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La présidence de la République entend ester en justice le bimensuel français pour des accusations erronées sur Bilal, le troisième fils d’Ali Bongo Ondimba.

Dans son édition du 25 novembre 2020, «La Lettre du Continent» écrit que «Bilal, troisième fils du président gabonais Ali Bongo a interrompu les études qu’il menait aux Etats-Unis pour intégrer la force chargée de la sécurité du Palais du Bord de mer et de tout le staff présidentiel». Des propos qualifiés de mensongers par la présidence gabonaise qui a aussitôt réagi par un communiqué. «Cette allégation, émanant d’une publication qui de longue date a fait du “Gabon bashing” son fonds de commerce, est en tout point mensongère. A telle enseigne qu’elle interroge sur les motivations réelles de son ou de ses auteurs, manifestement très éloignées du noble travail journalistique consistant à informer l’opinion en rapportant des faits avérés et non fantasmés », dénonce-t-elle.

Le bimensuel français n’étant pas à son premier coup du genre (l’année dernière, cette publication ayant faussement attribué à Noureddin Bongo Valentin, coordinateur général des Affaires présidentielles, le poste de conseiller spécial), la présidence gabonaise entend saisir les instances judiciaires compétentes pour clarifier ces agissements s’écartant de l’éthique et de la déontologie journalistique. «Face à la recrudescence de la diffusion d’informations à caractère mensonger et diffamatoire visant notamment les institutions de la République et les personnes qui les incarnent, des poursuites judiciaires seront désormais engagées systématiquement contre toute personne auteure ou complice de cette diffusion, au Gabon et à l’étranger, conformément aux textes en vigueur. Ce sera le cas en l’espèce», souligne-t-elle. «Les libertés d’expression et de l’information, consacrées par la Constitution, ne sauraient justifier que des actes portant atteinte à l’honneur et à la dignité des institutions et des citoyens, tout aussi protégés par la Constitution, demeurent tolérés et impunis», conclut la présidence gabonaise.
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