C’est à l’occasion d’un déjeuner politique tenu ce samedi 17 octobre 2020 à son siège, sis au quartier charbonnages dans le 1er arrondissement de Libreville que le président du Rassemblement pour la restauration des valeurs (RV) Arsène Édouard Nkoghe Nze a présenté aux jeunes dudit parti politique leur secrétaire général adjoint chargé de la jeunesse, Loïc Moulaka. Occasion pour ce dernier de décliner son plan d’action devant guider la politique de la 2ème force politique de la majorité présidentielle.
C’est une innovation remarquable que vient d’introduire le Rassemblement pour la restauration des valeurs (RV) dans sa structure organisationnelle. En effet, Arsène Édouard Nkoghe Nze, le président de la 2eme force politique de la majorité présidentielle a procédé ce jour à la présentation officielle de son secrétaire général adjoint 3 chargé de la jeunesse.
Il s’agit de Loïc Moulaka, ancien responsable politique de l’Union des jeunes du Parti démocratique Gabonais France (UJPDG- France). Ce compatriote, la trentaine révolue, dont l’expérience dans la sphère politique n’est plus à démontrer, a la lourde charge de guider la politique jeunesse du chef de l’État Ali Bongo Ondimba dont son parti se veut être le bras séculier.
À cette occasion, le tout premier président des jeunes du RV a décliné les grandes lignes du plan d’action à mener à court,moyen et long terme. « Je remercie le président d’avoir porté sa confiance envers ma personne. Pour ma part, il s’agira tout d’abord de structurer la cellule jeunesse. Ensuite d’impliquer les jeunes Gabonais dans la chose politique. C’est-à-dire de les faire passer de spectateur à acteur. Et cela passe par l’implantation des cellules provinciales », a conclu Loïc Moulaka.
Il faut dire que le Rassemblement pour la restauration des valeurs est à pied d’oeuvre pour redynamiser son jeune parti dont l’aura reste intense en dépit de ces quelques mois de léthargie. La jeunesse gabonaise trouve donc en Loïc Moulaka et Arsène Édouard Nkoghe Nze, deux fidèles courroie de transmission de leurs doléances auprès du chef de l’État qui fait de la jeunesse un pilier de sa politique.