Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment
Accueil
News
Politique
Article
Politique

Covid-19 : Ondo Ossa et Ndong Sima consultés par Nkoghe Bekale
Publié le mercredi 1 avril 2020  |  Gabon Review
Albert
© Autre presse
Albert Ondo Ossa, président de l’USP
Comment


Albert Ondo Ossa et Raymond Ndong Sima ont échangé, le 30 mars à Libreville, avec le Premier ministre sur le Covid-19. La rencontre entre Julien Nkoghe Bekale et les deux anciens ministres entre dans le cadre de la définition d’une riposte économique face au Covid-19.

Le professeur Albert Ondo Ossa et Raymond Ndong Sima ont été reçus le 30 mars par le Premier ministre. Cette rencontre s’inscrit dans la série des consultations initiées par Julien Nkoghe Bekale auprès de hauts commis de l’État afin d’apporter leur contribution dans la lutte contre le Covid-19 et ses effets négatifs sur la stabilité économique du pays.

Selon les services de la primature, «la rencontre a permis de définir les meilleurs angles d’attaques aux problèmes posés afin d’y apporter des solutions bénéfiques au plus grand nombre». Si ces angles d’attaques n’ont pas été déclinés, Raymond Ndong Sima s’est tout de même félicité de la démarche de Julien Nkoghe Bekale. D’autant que «le problème auquel fait face le Gabon est inédit. Il faut donc que tout le monde puisse apporter sa pierre à la construction de la solution. Puisque personne ne peut, par définition, prétendre avoir seul la solution au problème me qui est posé», a estimé l’ancien Premier ministre Raymond Ndong Sima.

S’il reconnaît l’existence des chamailleries entre les hommes politiques sur certaines questions, ce dernier estime que l’heure est venue «de taire toutes les divergences et chercher ensemble la solution».

Deux semaines avant cette rencontre avec Julien Nkoghe Bekale, Raymond Sima s’était prononcé sur les mesures prises par le gouvernement le 15 mars, pour faire face à la propagation du Covid-19. L’ancien Premier ministre s’était notamment dit «heureux que le gouvernement gabonais ait pris la décision d’arrêter les cours, de fermer les frontières terrestres, d’interdire les rassemblements de plus de cinquante personnes». Il avait par la même occasion préconisé «une meilleure communication sur les lieux de dépistage et de prise en charge à Libreville comme dans les autres grandes villes sont indispensables».
Commentaires


Comment