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Gabon : malgré la crise ambiante, Assala Energy poursuit son expansion
Publié le mercredi 1 avril 2020  |  Gabon Media Time
Assala
© LaLibreville.com par DR
Assala energy second producteur de pétrole au Gabon
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Alors que la crise économico-pétrolière née de la pandémie du Coronavirus a contraint plusieurs majors de l’industrie pétrolière, dont Total, à baisser drastiquement leurs investissements, la junior filiale de Carlyle spécialisée dans le redéveloppement de champs matures Assala Energy, a décidé de poursuivre ses investissements comme le suggèrent nos confrères de Jeune Afrique. Dans un contexte où elle tourne à plus de 55 000 barils/jour, la société pétrolière se dit prête à faire face à la crise actuelle dans le secteur.

Dans un marché profondément altéré par la propagation du Covid-19 qui modifie la structure de base de l’économie mondiale et bouleverse le secteur pétro-gazier africain perturbé par une guerre des prix entre Riyad et Moscou, une entreprise semble en mesure de soutenir le secteur au niveau national. Spécialisée dans le redéveloppement de champs matures, la junior filiale de l’américain Carlyle, Assala Energy, a décidé d’affronter cet ouragan nommé Covid-19.

En effet, la société pétrolière qui a racheté en juillet 2018 les parts de Total Gabon sur Rabi Kounga, et qui a déjà investi plus de 70 millions de dollars au cours du premier trimestre 2020, a décidé de poursuivre sur sa lancée. Ainsi, comme l’a suggéré David Roux son directeur général, deux ans et demi après sa création, Assala est en mesure d’affronter avec sérénité la tempête pétrolière issue de la pandémie de Covid-19 qui a déjà fait chuter de 70% le prix du baril.

Pour le patron d’Assala qui a une véritable connaissance du secteur pétrolier gabonais et africain du fait de son passage chez Perenco et de Tullow Oil, le modèle d’exploitation de la société dont il a la charge devrait lui permettre de traverser la crise pétrolière actuelle. Un argument solide puisqu’Assala affirme avoir réduit ses coûts de production à 12 dollars le baril pour des volumes dépassant les 55 000 barils/jour.
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