Libreville,(Infos Gabon) – Le terme opposition contient plusieurs démembrements. De l’Union Nationale, sanctuaire des transfuges du PDG, au Morena, certains regroupements sont moins visibles sur le terrain politique. Pourtant, ils ont beau clamer qu’ils accusent les autorités de mal gérer le pays, ils opèrent dans la surenchère qui n’aide pas à parler du développement de notre pays.
Qu’ont-ils donc fait ? Ils découragent les investisseurs en semant le trouble dans leurs rangs. Ils fragilisent ce qui permet au pays d’alléger le fardeau de la dette. Toute prise de position a pour objectif essentiel de menacer le système de financement.
Pourtant, quels ingrédients tirent-ils de ces intrigues politiciennes, lorsqu’un jour un Collectif, véritables acteurs font dans les coups de théâtre du “puissant méchant homme”. Lorsque l’on sait que, d’une manière générale, ceux qui parlent aujourd’hui étaient aux affaires hier.
Ces pantouflards qui enfilent leur équipement de lobbyistes et s’agrippent à une fausse bouée de secours pour hurler avec les loups.
Les tribulations d’anciens hauts fonctionnaires dépassent le cadre d’une joute oratoire politique puisque la nécessaire intrigue est autour du rapport de forces politiques entre le PDG et les oppositions. Elles illustrent parfaitement le séisme abyssal des leaders dont on taira les noms par respect des ainés.
Or, il y a émergence des laissés-pour-compte qui ne pardonnent pas les errements de leur leader pour des choix de boycott et de politique hétérodoxe. Ils ont beau recourir à la diatribe négativiste, rien n’y fait. Alors que l’économie mondiale annonce un retour à la croissance pour bientôt, à ce stade, le regard se tourne vers les institutions de Bretton Woods.
Du théâtre irréaliste avec Dynamique Unitaire où élection rime avec machiavélisme qui se délecte du snobisme. En sourdine, le vote soviétique d’un scrutin de renouvellement de poste avec un seul candidat ! Ci-devant JRY. Le bon sens fout le camp. Que des tribulations dans cette opposition plurielle.