Le député du 1er siège du 2e arrondissement de Libreville a dénoncé, mercredi dernier, les agissements visant à semer le trouble dans la population, orchestrés par des individus tapis dans l'ombre.
Réagissant aux événements survenus la semaine écoulée, faisant état de cas supposés cas d'enlèvements d'enfants dans la capitale gabonaise et dans d'autres localités du pays, le député du 1er siège du 2e arrondissement de la commune de Libreville, Aurélien Ntoutoume, a dénoncé, mercredi 29 janvier dernier, à sa permanence politique, sis à N'kembo, dans le 2e arrondissement de Libreville, "des manœuvres de récupération et manipulation politicienne visant à affaiblir le régime en place, au moyen de la politique de la terre brûlée".
Appelant les populations de sa circonscription politique au calme et à la retenue, il les a exhortées à la prudence par rapport aux informations relayées par les réseaux sociaux. D'autant que, a-t-il précisé, à l'analyse, celles-ci ne s'avèrent être que des allégations mensongères et fallacieuses visant à semer le trouble dans la population. D'où a-t-il stigmatisé la psychose savamment entretenue par des "esprits mal intentionnés tapis dans l'ombre".
De fait, un brin pédagogue, l'élu au palais Léon-Mba a invité les parents à sensibiliser leur progéniture sur la nécessité d'éviter de se laisser corrompre, manipuler et de se livrer à la justice populaire. Fort de cela, il les a invités à "faire confiance à la justice de notre pays".