Celui qui se considère toujours comme le président élu du Gabon a critiqué dans une déclaration la récente opération « mains propres » dans le pays qui a mené notamment à l'arrestation de l'ex-directeur de cabinet du président Ali Bongo Ondimba, le Franco-Gabonais Brice Laccruche Alihanga, ainsi que son bras droit, le porte-parole de la présidence, Ike Ngouoni.
Au Gabon, Jean Ping a affirmé dans une déclaration que l’opération anticorruption « Scorpion » n'était rien d'autre qu'une bataille de gangs où les uns ont été chassés par les autres dans l’unique but de perpétuer le pillage du pays.
Le chef de l'opposition, qui se considère toujours comme le vrai président élu par les Gabonais en 2016, a également condamné la nomination de Noureddin Bongo Valentin, le fils d’Ali Bongo, au poste de coordinateur des affaires présidentielles.... suite de l'article sur RFI