Dans un communiqué rendu public le 10 décembre, Jean Ping a dénoncé « la monarchisation de la République » gabonaise, faisant allusion à la nomination de Noureddin Bongo Valentin, le fils du chef de l’État, comme coordinateur des affaires présidentielles.
La parole de Jean Ping, qui ne s’était pas exprimé depuis le 12 octobre dernier, est relativement rare. Mais l’opposant, qui revendique toujours la victoire lors de l’élection présidentielle de 2016, n’a visiblement rien perdu de sa virulence. Mardi 10 décembre, il a dénoncé, dans un communiqué, la nomination de Noureddin Bongo Valentin comme coordinateur des affaires présidentielles le 5 décembre dernier.... suite de l'article sur Jeune Afrique