Depuis un an, les fortes pluies et le ruissellement intempestif des eaux ont causé l’érosion d’une partie de la chaussée, au niveau de derrière le Tribunal au quartier Ancienne Sobraga, dans le 2e arrondissement de Libreville. Si rien n’est fait par l’administration des TP, la route devrait se couper en deux à cet endroit dans quelques semaines.
La circulation est menacée sur la principale voie passant par derrière le Tribunal, au quartier Ancienne Sobraga, dans le 2e arrondissement de Libreville. La faute à une érosion de la chaussée à cet endroit, qui menace de couper la voie en deux dans l’indifférence générale.
Cette érosion a commencé il y a plus d’un an. Au début, des plots de béton ont été placés par les autorités, certainement le ministère des TP, sur la partie de la voie affectée, en guise de signalisation. Mais au-delà de cette mesure de sécurité, rien n’a été fait par les autorités compétentes pour résoudre le problème.
Au fur et à mesure, l’érosion a gagné du terrain au point de s’étendre au-delà de la moitié de voie, bien aidée par les eaux de ruissellement incessant à cet endroit et les fortes pluies. Certains plots en béton se retrouvent même déjà au fond de la «ravine» causée par l’érosion. Vu l’état de dégradation de la voie et son évolution, beaucoup craignent que la chaussée soit coupée en deux d’ici à la fin de l’année en cours.
En attendant, la circulation se fait sur la partie de la chaussée encore praticable. Mais un seul véhicule peut passer à la fois. Il serait peut-être temps que l’administration de Justin Ndoundangoye se saisisse de ce dossier, avant que le pire ne se produise.