C’est ce qui ressort de l’article d’Yves Bourdillon dans les échos sur l’état de l’économie de notre pays.
Pour preuve l’article cite le bilan d’étape réalisé par le représentant résident de la banque mondiale Marcos Paplowski-Ribiero. Les voyants sont désormais au vert, après avoir frôlé la catastrophe, grâce aux mesures courageuses prises par Ali Bongo Ondimba. Le déficit public qui était de 6,6% est s’établit désormais à 1%. Celui de la balance de paiement qui était de 10% en 2016 passe à 2,2% cette année. Mieux, notre pays qui a bénéficié d’une croissance de 1% l’année dernière table sur 3% cette.
Notre économie fortement dépendante de la rente pétrolière compte, grâce à la diversification, sur une meilleure gestion de la filière bois pour poursuivre sa relance économique. Des signaux plutôt intéressants qui ont conduit le fonds monétaire international et la banque africaine de développement à se tenir aux côtés du Gabon dans ses efforts de relance de son économie.
Des informations qui viennent doucher les analyses approximatives des certains individus prolixes dans les réseaux sociaux et dans les médias télévisés français où ils viennent pondre des réflexions approximatives qui ne séduisent que les activistes.