La Côte d’Ivoire va abriter bientôt une usine d’assemblage automobile sur son sol. C’est la bonne nouvelle que rapporte la délégation ivoirienne au Japon, qui prend part à la 7è Conférence internationale de Tokyo pour le développement de l’Afrique (Ticad), organisée depuis mercredi à Yokohama. Le Premier ministre, Amadou Gon Coulibaly, représentant le chef de l’Etat, a porté la voix de son pays, ce jeudi 29 août, à ce sommet. C’est dans cette intervention que le chef du gouvernement ivoirien a porté à la connaissance du monde l’implantation très bientôt d’une usine d’assemblage de véhicules sur son territoire.
En parlant des secteurs qui pourraient intéresser les investissements en Côte d’Ivoire, le Premier ministre Amadou Gon a profité pour annoncer la signature d’un accord de partenariat, ce jour-même, entre le groupe Toyota et son gouvernement, pour l’installation d’une usine d’assemblage automobile en Côte d’Ivoire. Pour le chef du gouvernement ivoirien, cet accord de partenariat, et non des moindres, devrait servir d’invite aux autres entreprises japonaises à venir s’installer en Côte d’Ivoire et en Afrique en général.
Bien avant, Amadou Gon Coulibaly a partagé avec les différentes parties prenantes à la Ticad 7 les performances réalisées par la nation ivoirienne, en matière de croissance économique et d’amélioration du climat des affaires, au cours de cette décennie. Ces acquis, a souligné le Premier ministre, font de la Côte d’Ivoire, l’une des économies les plus dynamiques d’Afrique. Le locataire de la Primature d’Abidjan a souligné les réformes opérées, l’amélioration de l’environnement des affaires, la stabilité politique et à la sécurité intérieure retrouvée, qui ont donné ces résultats et vont continuer de se renforcer.
Aussi, n’a-t-il pas hésité à lancer un appel aux chefs d’entreprises japonaises à investir en Afrique, car ceci leur procurera une rentabilité au dessus de la moyenne mondiale, mais aussi leur permettre de contribuer au développement industriel du continent et à la création de millions d’emplois stables et décents pour les jeunes, qui représentent 70% des populations. « Je voudrais vous rassurer que les conditions sont plus que jamais réunies pour votre implantations réussies sur le continent africain ».
Selon le Premier ministre, le nombre d’entreprises japonaises installées en Côte d’Ivoire augmenté entre la Ticad VI et la Ticad VII. Mais, il pense, au regard de la coopération qui lie la nation ivoirienne au Japon, avec la création du Japan-Desk au Centre de promotion pour les investissements en Côte d’Ivoire (Cepici) et la signature prochaine de l’accord de protection des investissements entre la les deux pays, que le nombre des entreprises japonaises installées en Côte d’Ivoire devrait être multiplié par quatre d’ici la Ticad 8. Entre autres secteurs pouvant attirer ces investissements, Amadou Gon Coulibaly cite les Infrastructures, l’Education – Formation avec un accent particulier sur le transfert des technologies, l’industrialisation avec une coopération gagnant – gagnant entre le secteur privé japonais et le privé ivoirien, et l’Agro-industrie pour tenir compte de la vocation agricole de son pays.
Félix D.BONYLa Côte d’Ivoire va abriter bientôt une usine d’assemblage automobile sur son sol. C’est la bonne nouvelle que rapporte la délégation ivoirienne au Japon, qui prend part à la 7è Conférence internationale de Tokyo pour le développement de l’Afrique (Ticad), organisée depuis mercredi à Yokohama. Le Premier ministre, Amadou Gon Coulibaly, représentant le chef de l’Etat, a porté la voix de son pays, ce jeudi 29 août, à ce sommet. C’est dans cette intervention que le chef du gouvernement ivoirien a porté à la connaissance du monde l’implantation très bientôt d’une usine d’assemblage de véhicules sur son territoire.
En parlant des secteurs qui pourraient intéresser les investissements en Côte d’Ivoire, le Premier ministre Amadou Gon a profité pour annoncer la signature d’un accord de partenariat, ce jour-même, entre le groupe Toyota et son gouvernement, pour l’installation d’une usine d’assemblage automobile en Côte d’Ivoire. Pour le chef du gouvernement ivoirien, cet accord de partenariat, et non des moindres, devrait servir d’invite aux autres entreprises japonaises à venir s’installer en Côte d’Ivoire et en Afrique en général.
Bien avant, Amadou Gon Coulibaly a partagé avec les différentes parties prenantes à la Ticad 7 les performances réalisées par la nation ivoirienne, en matière de croissance économique et d’amélioration du climat des affaires, au cours de cette décennie. Ces acquis, a souligné le Premier ministre, font de la Côte d’Ivoire, l’une des économies les plus dynamiques d’Afrique. Le locataire de la Primature d’Abidjan a souligné les réformes opérées, l’amélioration de l’environnement des affaires, la stabilité politique et à la sécurité intérieure retrouvée, qui ont donné ces résultats et vont continuer de se renforcer.
Aussi, n’a-t-il pas hésité à lancer un appel aux chefs d’entreprises japonaises à investir en Afrique, car ceci leur procurera une rentabilité au dessus de la moyenne mondiale, mais aussi leur permettre de contribuer au développement industriel du continent et à la création de millions d’emplois stables et décents pour les jeunes, qui représentent 70% des populations. « Je voudrais vous rassurer que les conditions sont plus que jamais réunies pour votre implantations réussies sur le continent africain ».
Selon le Premier ministre, le nombre d’entreprises japonaises installées en Côte d’Ivoire augmenté entre la Ticad VI et la Ticad VII. Mais, il pense, au regard de la coopération qui lie la nation ivoirienne au Japon, avec la création du Japan-Desk au Centre de promotion pour les investissements en Côte d’Ivoire (Cepici) et la signature prochaine de l’accord de protection des investissements entre la les deux pays, que le nombre des entreprises japonaises installées en Côte d’Ivoire devrait être multiplié par quatre d’ici la Ticad 8. Entre autres secteurs pouvant attirer ces investissements, Amadou Gon Coulibaly cite les Infrastructures, l’Education – Formation avec un accent particulier sur le transfert des technologies, l’industrialisation avec une coopération gagnant – gagnant entre le secteur privé japonais et le privé ivoirien, et l’Agro-industrie pour tenir compte de la vocation agricole de son pays.