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Le juge aurait validé la saisine d’appel à agir par aigreur pour faire entendre son désespoir
Publié le jeudi 15 aout 2019  |  La Source
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© Autre presse par dr
Le juge aurait validé la saisine d’appel à agir par aigreur pour faire entendre son désespoir
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Le dernier conseil supérieur de la magistrature ne l’ayant malheureusement pas reconduite dans ses fonctions de présidente de la cour d’appel de Libreville, elle aurait décidé de le faire savoir par tous les moyens quitte à braver la Loi.

Alors que la constitution de la République gabonaise prévoit qu’un chef d’État ne peut-être jugé par aucune juridiction durant son mandat sauf, pour le cas avéré de haute trahison, par une haute cour spéciale de Justice, Paulette Ayo Akolly a choisi, contre toute les dispositions légales de laisser prospérer la saisine du groupuscule Appel à agir. La magistrate, loin d’être impartiale et non contente d’avoir été éjectée de son strapontin, veut passer outre la loi en tout désespoir de cause.

Alors que le tribunal de première instance s’est déclaré incompétent pour juger de cette affaire, les 10 d’Appel à agir ont saisi la cour d’appel, bien conscient du désespoir de la présidente de cette instance. Paulette Ayo Akolly a décidé de recevoir et instruire ce dossier. Décision que la cour de cassation lui déniera car contraire aux dispositions de l’article 78 de la Loi Fondamentale de notre pays.

Inutile de faire le lien de collusion de faire entre ce groupuscule qui a bien choisi de surfer sur le ressentiment de la magistrate vis-à-vis de l’autorité qui l’a placée là pour faire prospérer sa requête. Un jeu de dupes dont les gabonais ne seraient pas informés. Car, ce rendu est en fait un ultime geste de désespoir avant son débarquement prochain du poste de présidente de la cour d’appel.
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