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Zone économique de Nkok : Otandault promet la simplification des démarches administratives et la réduction des taxes
Publié le jeudi 1 aout 2019  |  Agence Gabonaise de Presse
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© Autre presse par DR
Jean Fidèle Otandault, ministre en charge de la Promotion des investissements
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Le ministre en charge de la Promotion des investissements, Jean Fidèle Otandault, a déclaré, au sortir d’une rencontre avec les investisseurs, le mardi 30 juillet écoulé à Nkok, qu’il va faire de la simplification administrative et la réduction des taxes pour les investisseurs ses champs de bataille.

Dans son programme de rencontre avec les investisseurs installés au Gabon, le ministre en charge des Investissements, Jean Fidèle Otandault, s’est rendu le mardi 30 juillet à la Zone économique à régime privilégié de Nkok, pour toucher du doigt les difficultés qu’éprouvent certains opérateurs économiques dans le fonctionnement de leurs activités.

Au sortir de ces échanges, Jean Fidèle Otandault a décidé de faire de la simplification administrative et de la réduction des taxes ses premiers chantiers.

«La zone économique de Nkok est le symbole de la diversité économique gabonaise. Cette vision du chef de l’État, Ali Bongo Ondimba, nous a permis de mieux supporter le choc pétrolier. (…) Aujourd’hui, ce sont 220 milliards d’investissement directs étrangers déjà investis dans la zone économique de Nkok. L’objectif du gouvernement est de doubler ce chiffre durant les trois prochaines années. Donc nous allons comprendre, grâce à l’écoute que nous développons, grâce aux séances de travail avec ces investisseurs, quel est leur problématique. J’ai cru entendre qu’il y avait des lourdeurs administratives. Donc plus que jamais, la simplification administrative est un facteur de développement économique dans notre pays. Nous allons également tout faire pour réduire les taxes afin d’attirer d’autres investisseurs», a indiqué le membre du gouvernement.

Selon les responsables de la Zerp, la Zone comprend près de 4000 emplois directs créés, 40% des exportations nationales en dehors du secteur des mines et du pétrole. 65 opérateurs en opérations. Ce qui représente 650 centenaires par mois. Augmentant ainsi le volume industriel dans la zone d’Oloumi. Aujourd’hui, 20 entreprises sont en construction.

Florine Angue
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