Les États-Unis ont logiquement remporté leur quatrième titre de champions du monde féminin de football. Les équipières de Megan Rapinoe ont battu en finale les Pays-Bas sur la marque de 2-0 dans un match qui, comme d’autre avant lui dans cette compétition, a basculé à la suite d’une décision arbitrale due à la VAR.
De notre envoyé spécial à Lyon,
Les États-Unis ont conservé leur titre de champions du monde féminins de football à l’issue d’une finale globalement maîtrisée face aux Pays-Bas, dimanche 7 juillet à Lyon.
Sur notre gauche, les États-Unis, tenantes du titre, déjà trois fois championnes du monde et reines de la planète football chez les femmes, se présentaient en grandes favorites. Sur notre gauche, le challenger, la grosse cote : les Pays-Bas. Champions d’Europe en titre, certes, mais inconnus au très haut niveau il y a encore deux ans.
Les Pays-Bas seraient-elles de simples victimes expiatoires du rouleau compresseur américain ? On allait le savoir à l’issue des quinze premières minutes, le désormais fameux « quart d’heure américain », celui au cours duquel, dans les matchs précédents, les Américaines avaient déjà inscrit six buts. La pression est forte d’entrée devant le but défendu par Sari Van Veenendaal. Arrive la fin du premier quart d’heure et rien n’a été marqué. Les Néerlandaises, au prix d’un gros engagement sans faille, repoussent tous les assauts américains. Au prix aussi d’un abandon en règle de leurs lignes avant.... suite de l'article sur RFI