Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment
Accueil
News
Société
Article
Société

Poplawski-Ribeiro : «Le Gabon reste une économie stable»
Publié le lundi 17 juin 2019  |  Gabon Review
perspective-economique-Gabon
© Gabon Review par DR
perspective-economique-Gabon
Comment


Grâce à la diversification de son économie et aux récentes réformes marquées par le redressement budgétaire, le Gabon s’ouvre à des perspectives économiques stables, selon les experts de l’une des institution de Bretton Woods qui tablent sur une croissance devant osciller entre 3,5 et 4% en 2019, en dépit des chocs exogènes et des difficultés budgétaires.

«Les perspectives économiques au Gabon sont stables. La dette publique a baissé. Elle était à 64%. Aujourd’hui, elle est à 60%. Donc, il y a une série de réformes prises pour améliorer la situation. Il faut que nous continuions dans cette tendance, à travers la mise en place des réformes structurantes pour stimuler l’investissement, l’emploi et la formation afin de dynamiser la croissance et la rendre plus endogène et plus inclusive», a déclaré le représentant résident du FMI, Marcos Poplawski-Ribeiro, le 14 juin 2019, à la faveur de la présentation du dernier rapport sur les perspectives économiques régionales 2019, titré «Reprise dans un contexte de grande incertitude».

De l’avis du FMI, malgré la chute brutale des recettes pétrolières, passées de 1442 milliards, en 2013, à 583 milliards de francs CFA en 2018, le Gabon est parvenu à compenser en augmentant fortement ses recettes hors pétrole, qui se sont élevées à 943 milliards en 2017 et à 997,4 milliards de francs CFA en 2018, en constante augmentation ces dernières années. «Une situation favorable qui s’explique par la diversification de plus en plus forte de l’économie gabonaise et par les efforts faits par les autorités gabonaises afin de mieux recouvrer les impôts».
Commentaires

Dans le dossier
Activités économiques
Sondage
Nous suivre
Nos réseaux sociaux


Comment

Comment