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CLR : Sickout-Iguendja pourrait démissionner
Publié le vendredi 17 mai 2019  |  Gabon Review
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Parti du poste de secrétaire général du parti de Jean-Boniface Assélé en avril, l’ancien adjoint au maire de Libreville pourrait bientôt annoncer sa démission du Centre des libéraux réformateur (CLR).

Après 7 ans en tant que militant de base et cadre, Nicaise Sickout-Iguendja pourrait officiellement quitter le CLR dans les prochaines semaines. Si sa décision n’est pas formellement prise, l’ancien adjoint au maire de la commune de Libreville annonce, ce jeudi 16 mai, dans le quotidien L’Union, une sortie sur le sujet, le 12 juin prochain. Cette date n’a pas été choisie fortuitement : il s’agit de celle de son adhésion au parti de Jean-Boniface Assélé en 2012. À l’époque, il avait quitté le Parti gabonais pour le progrès (PGP, actuel parti de Jean Ping) auquel il avait adhéré en 1990.

Disant ne plus se reconnaître dans «les principes de fonctionnement et d’organisation» du CLR, en avril dernier, Nicaise Sickout-Iguendja avait déjà démissionné de son poste de secrétaire général du parti. Il cache mal qu’il en voulait au président de sa formation politique qui, ces derniers temps, a davantage géré le parti en dehors du respect de son statut et de son règlement intérieur. L’ex-secrétaire général digère d’ailleurs encore mal d’avoir été contraint à se retirer de la course du second tour des législatives dans le 4e arrondissement de Libreville. Il a fallu satisfaire à un «arrangement politique» avec le Parti démocratique gabonais (PDG).

En passe de quitter le CLR, Nicaise Sickout-Iguendja ne dit pas s’il adhèrera comme Éloi Nzondo au PDG ou s’il créera son propre parti. Toutefois, il assure qu’«il ne sera pas question de s’engager dans un flou artistique», d’autant qu’il veut éviter de «revivre la même chose» qu’au CLR. Il entend poursuivre son chemin dans un parti moderne et dynamique. «Je me refuse de participer au suicide volontaire du CLR, s’il n’y a pas de signe porteur d’avenir», déclare-t-il.
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