Un atelier de réflexion sur «la femme et chaine de valeurs agricoles» et une journée portes-ouvertes des produits agricoles transformés par des structures associatives nationales, ont eu lieu, ce jeudi 9 mai, au siège du Fonds des nations unies pour l’agriculture l’alimentation (FAO), à Libreville.
Pour le représentant de la FAO, Helder Muteia, la rencontre de ce jour, est une occasion concrète de montrer les efforts accomplis par le gouvernement, avec l’appui de la FAO sur le processus de développement des chaines de valeurs agricoles dans le pays. Il s’agit également d’un engagement et la détermination des femmes gabonaises dans la valorisation du secteur agricole et des chaines de valeurs.
Le ministre du Commerce, des Petites et Moyennes entreprises et des Industries, David Mbadinga, a pour sa part rappelé, dans son allocution, la relation forte qui lie le gouvernement gabonais et la FAO, affirmant son encadrement et son appuie multiforme aux groupes et organisations de la société civile, principalement dans les programmes de formation, de commercialisation de leurs biens et services. Ce, en vue de leur autonomisation qui valorise et vulgarise les savoirs faire traditionnels et culturels pour un rayonnement de la société gabonaise et de son économie.
Selon la FAO, le plan de relance économique (PRE) du Gabon inscrit l’agriculture au rang des priorités pour les créations de ressources et d’emplois et l’institution est résolument engagée au coté du gouvernement pour contribuer à cet objectif. La FAO accompagne les femmes dans le développement des chaines de valeurs agricoles.