Le ministre de la Communication, de l’Économie numérique et de la Poste, Guy-Maixent Mamiaka, a pris part, hier, au lancement des activités commémoratives de la 26e édition au siège de l'Agence gabonaise de presse.
Ce 3 mai 2019, la communauté internationale commémore la 26e édition de Journée mondiale de la liberté de presse. Au niveau national, les festivités y relatives ont débuté hier dans les locaux de l'Agence gabonaise de presse (AGP), sis à Akanda, au nord de Libreville.
Deux exposés ont ponctué cette première journée. D'abord celui de Samson Ebang Nkili, ancien journaliste de l'Union, qui a donné à l'assistance un avant-goût de son ouvrage à paraître : " L'histoire de la presse de 1922 à nos jours".
Dans ce livre en gestation, l'auteur revient sur la genèse de la presse gabonaise. De la création du premier journal gabonais intitulé " l'Echo gabonais", le 22 juillet 1922 à Dakar, par feu Cyr Laurent Antchouey, à la récente création de la Haute autorité de la communication (HAC), l'orateur a édifié l'assistance sur l'évolution de la presse gabonaise.
Jean-Robert Mbassani, journaliste, par ailleurs enseignant, a, quant lui, devisé sur le thème " Média, relation partenariale et démocratie". Une véritable préoccupation pour les patrons de presse. Lesquels doivent, d'une part, satisfaire les annonceurs en évitant de porter atteinte à leur image, et, d'autre part, préserver la crédibilité de leur organe, en informant juste et vrai.