En raison du déclin naturel des champs matures, du maintien du quota de l’Organisation des pays producteurs de pétrole (Opep) à 9 000 barils/jour pour réduire l’offre mondiale de pétrole, et des arrêts planifiés et non planifiés pour travaux de maintenance par certains opérateurs, la production nationale de pétrole brut s’est établie à 9,646 millions de tonnes (70,4 millions de barils), soit un repli de 8,2% par rapport à 2017.
L’adoption attendue du nouveau Code des hydrocarbures actuellement en examen au Sénat, devrait relancer la production pétrolière au Gabon, en déclin naturel depuis plus d’une dizaine d’années.
Ce nouveau texte de loi, réputé plus souple et plus attractif, séduit déjà de nombreuses compagnies pétrolières internationales, prêtes à investir massivement dans l’off-shore profond et très profond.
D’après les chiffres compilés de la direction générale des Hydrocarbures, en 2018, la production nationale de pétrole brut s’est établie à 9,646 millions de tonnes (70,4 millions de barils), soit un repli de 8,2% par rapport à 2017.
Cette baisse est consécutive au déclin naturel des champs matures, au maintien du quota de l’Organisation des pays producteurs de pétrole (Opep) à 9 000 barils/jour pour réduire l’offre mondiale de pétrole et aux arrêts planifiés et non planifiés pour travaux de maintenance par certains opérateurs.