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Gabon : Julien Nkoghe Bekale prend langue avec les syndicats dans un dialogue social ce mardi
Publié le mercredi 24 avril 2019  |  InfosGabon
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© Primature par DR
Secteur pétrolier / Le nouveau directeur général de Vivo Energy Gabon chez le premier ministre
Jeudi 07 Mars 2019. Le Premier Ministre Chef du gouvernement, Julien Nkoghe Bekale a reçu en audience à son cabinet de travail, Issa Issa, le nouveau directeur général de l’entreprise ENGEN, devenu VIVO ENERGY GABON depuis le 01 mars dernier
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Quasi absents dans la proposition et virulents dans la condamnation, les syndicats sont attendus à l’hôtel Nomad, au nord de Libreville, ce mardi à un dialogue qui se veut franc, sincère et responsable face à la situation qui prévaut dans l’administration.

C’est près de 300 invités qui participent au dialogue social avec pour tendance d’aller au fond des choses.

Julien Nkoghe Bekale dans sa veste de premier responsable de l’administration va écouter les uns et les autres sur les différents dysfonctionnements de leurs services tout en apportant des propositions concrètes et réalisables.

Le Premier ministre opère un contact vivant, direct qui ne biaise pas d’autant que les recommandations des institutions internationales qui accompagnent le Gabon sont à suivre à la lettre en même temps être à l’écoute des besoins du peuple. Un vrai paradoxe !

Le dernier exemple en date est le report de l’application de la réforme sur les conditions d’attribution de la bourse qui a divisé nombre de citoyens. Ainsi, depuis la reprise des cours jeudi dernier, il est de bon aloi que le chef du gouvernement aille à la source de tout ce remue-ménage afin d’en extraire la quintessence.

Le programme du FMI qui finance les investissements pendant trois ans a une exigence, celle de réduire le train de vie de l’Etat, notamment la masse salariale de la Fonction publique. C’est un fardeau devant les réalités budgétaires.

Du coup, les dépenses publiques deviennent l’arbre qui cache la forêt des investissements. Même si on est loin de le penser comme ce syndicaliste qui refuse d’apporter sa contribution au dialogue expliquant cela par les erreurs du passé, l’exigence d’un dialogue réaliste et responsable, ainsi que le tableau sombre devraient être l’occasion de vider sa critique juste ou injustifiée face à la crise.

Tous les sujets d’ordre social doivent être au coeur du débat pour confirmer le sens du combat syndical et non politicien.

FIN/INFOSGABON/PM/2019
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