La banque a réagi par voie de communiqué à la publication la semaine dernière dans l’hebdomadaire Jeune Afrique d’un article à ce sujet.
Des propos diffamatoires. C’est ainsi que BGFI Bank Gabon considère les allégations contenues dans un article paru le 24 mars dernier dans l’hebdomadaire Jeune Afrique.
Intitulé « Le mystère du milliard disparu », celui-ci relate la plainte déposée par un notaire de Libreville, Alfred Bongo Ondimba, pour « faux et usage de faux en écriture, abus de confiance, opération de paiement non-autorisée sur compte séquestre », etc., suite à la disparition, soutient l’accusation, de 1,5 milliards de francs CFA du compte de son étude notariale.
Réagissant par voie de communiqué, BGFI Bank Gabon s’est à nouveau défendu de la moindre fraude dans ce dossier. Elle assure faire « une totale confiance à la Justice
gabonaise », ajoutant que « c’est devant elle et non dans les médias que doivent être vidés les contentieux. »
La banque, qui dit être « sereine quant à l’issue de la procédure judiciaire en cours, se réserve néanmoins le droit d’entreprendre toute action afin d’obtenir réparation suite aux propos diffamatoires tenus à son endroit. »