Moments de souvenirs et de recueillement. Voilà ce qu'a constitué la messe de requiem célébrée, hier en l’Église Notre Dame de l'Assomption, à l'occasion du 10e anniversaire du décès d’Édith Lucie Bongo Ondimba, ancienne première dame du Gabon.
Souvenir pour « la nature de son œuvre durant son pèlerinage terrestre » et de ce que " ayant rejoint l’Éternel, celui-ci puisse, dans sa miséricorde, lui pardonner de ce qu'elle n'a pas pu faire ici-bas". Membres de la famille Omar Bongo Ondimba et ceux du gouvernement, personnalités politiques de la majorité et de l'opposition, ainsi que de la société civile se sont regroupés autour de la famille de la disparue, pour lui témoigner tout leur attachement.
L'officiant, Mgr Jean-Clair Patrick Edou, a conçu son homélie à partir des textes bibliques de Daniel (9:4-10) et Luc (6 : 36-38) à travers laquelle il a voulu qu'aussi bien la famille que le pays, « ensemble nous puissions revisiter ce que fut la présence d’Édith Lucie Bongo Ondimba parmi nous ».