On en parle beaucoup, et encore plus en période électorale. Les «fake news» ou fausses nouvelles sont légion, en Afrique comme ailleurs. Le phénomène a pu être observé au Kenya, en 2017, mais aussi au Nigeria ou au Sénégal, au cours des campagnes avant les présidentielles de ce week-end. Il s'explique notamment par une utilisation de plus en plus massive d'Internet et des réseaux sociaux. Samba Dialimpa Badji, rédacteur en chef de la version francophone d'Africacheck, une organisation de vérifications des faits et des informations, est notre invité.... suite de l'article sur RFI