Les conseillers locaux (départementaux, municipaux et d'arrondissements) éliront les nouveaux dirigeants de leurs collectivités respectives, le 03 février prochain. Les états-majors des partis politiques ont débuté les tractations en vue de resserrer les rangs autour de leurs candidats.
LES élections des bureaux des conseils locaux (départementaux, municipaux et d'arrondissements) sont sur les rails. Et les états-majors des formations politiques, du pouvoir en place comme de l'opposition, s'activent pour faire bloc autour de leurs candidatures respectives. Ces élections aux suffrages indirects devraient se dérouler le 3 février 2019 sur l'ensemble du territoire national.
Le PDG est certainement la formation politique dont les candidats sont les plus actifs. Les postes de maires et de présidents des conseils départementaux devront sans nul doute leur revenir à une écrasante majorité, au regard du nombre d'élus locaux engrangés. Les grandes villes comme Libreville, Port-Gentil, Franceville et Oyem, seront à cet égard au centre de toutes les convoitises. Et sauf peut-être à Oyem où les indépendants auront certainement leur mot à dire, les autres localités auront du mal à échapper au contrôle du parti au pouvoir.
Dans les autres localités, les partis de l'opposition seront dans une posture d'arbitre.
Il ne reste plus qu'à attendre le 3 février prochain pour connaître le dénouement d'un processus qui a débuté le 6 octobre 2018 avec les élections locales.