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Gabon: le PLC exige à son tour la libération des jeunes de l’Union nationale
Publié le jeudi 24 janvier 2019  |  Gabon Media Time
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© Autre presse par DR
Le président du MJU (Le mouvement des jeunes Upégistes), Anges Kevin Nzigou
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Ce mardi 22 janvier 2019, le parti d’opposition Pour le changement, a dans un communiqué de presse revêtu du nom de son secrétaire exécutif Ange Kevin Nzigou et transmis à la rédaction de Gabon média time, tenu à s’exprimer à la suite de l’arrestation des membres de la coordination des jeunes de l’Union Nationale (UN) dont son Président Firmin Ollo. A cet effet, le PLC a exigé la libération des jeunes de cette autre formation politique opposée au Parti démocratique gabonais (PDG).


Pour le changement qui fait le constat de l’absence d’éléments qui pourraient justifier l’arrestation « barbare des jeunes leaders de l’opposition gabonaise», pointe également le fait qu’elle « n’ait été rendue publique par les forces de l’ordre».

Des sources proches des mis en cause révèlent que l’arrestation de Firmin Ollo et ses camarades aurait un lien avec le coup d’Etat manqué du 7 janvier dernier, orchestré par le Mouvement patriotique des jeunes des forces de défense et de sécurité du Gabon (MPJFDS), dont la charge de l’enquête militaire a été Placée « sous l’autorité du ministre de la Défense et l’exécution des officiers de la Direction générale de la contre ingérence des sécurité militaires», s’est étonné du fait que des agents sous la tutelle du ministère de l’Intérieur interfèrent dans cette affaire qui en réalité ne relève pas de leur ressort.

« Nous observons avec une grande inquiétude que des officiers de la Police Judiciaire totalement dessaisis de la matière peuvent agir en toute illégalité faisant ainsi le lit à l’illégalité pour la promotion de l’intimidation et de menaces exercées contre les représentants de l’opposition démocratique et pacifique», a dénoncé le secrétaire exécutif du PLC.

Réaffirmant sa solidarité avec le mouvement des Jeunes de l’Union nationale, le PLC n’a pas manqué d’appeler au respect de l’Etat de droit, seul à même de garantir, la tenue d’un débat pluraliste et respectueux dans cette période qu’il qualifie de transitionnelle.
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