Les fêtes de fin d’année restent une période au cours de laquelle on enregistre des faits de société multiformes. Les populations gabonaises et les habitants des grandes agglomérations sont donc avertis.
Les excès, les passions et les abus deviennent des comportements à proscrire pour éviter le pire ou l’irréparable. Une invite qui sonne comme un appel aux autorités dont le rôle est d’encadrer et sécuriser les personnes et les biens.
En effet, les automobilistes sont les premiers visés vu qu'ils constituent l’une des principales causes d’accidents enregistrés en période de fêtes. Nombreux n’observent ou ne respectent pas le code et les contours liés à la conduite dont la vitesse, l’alcool au volant, les dépassements dangereux, les différents feux de signalisations.
Autre aspect, les tenanciers des lieux d’aisance (bar et autres échoppes) sont tout aussi listés dans cette chaine, pour être au centre des rixes à l’origine de certains événements malheureux. Il est rare de voir une fête se terminer à Libreville sans qu’on parle d’empoignade entre jeunes à pareil endroit.
Par ailleurs les commerçants illicites des drogues et roches vulgairement appelés cobolos sont principalement interpellés pour leur rôle dans la perversité de la jeunesse et à l'agravation de la violence. Ces produits incitent les jeunes à faire davantage dans le phénomène de braquage et de viols.
Pour finir la vigilance et l’observation des règles de bienséance sont nécessaires pendant les périodes de fêtes. Un éveil accru de nos forces de sécurité, dans les contrôles, pour qu’ils ne soient pas un simple exercice de routine et dissuader notamment non sans prévenir serait bienvenue.
Les fêtes constituent des moments de réjouissances et de resserrement des liens dans certaines familles. Pourquoi en faire au fil du temps presqu’une activation des malheurs à tord ?
Tous les articles d'actualités
