Libreville - Après l’affaire du chargé d’affaires gabonais au Togo, dont l’enquête reste sans issue plus de dix ans après, voici que l’on est dans l’attente des conclusions de l’enquête de la mort, il y a quelques jours à Libreville, du diplomate togolais accrédité au Gabon. Une mort sur fond de relation coupable, qui attise la polémique.
Toujours dans de conclusions d’enquête, sur les circonstances réelles de la mort du chargé d’affaires gabonais au Togo, officiellement mort des suites d’un braquage à main armé, de sources officielle. Une vue, pas toujours admise dans l’opinion, dans laquelle l’hypothèse d’un braquage simulé fait plutôt recette. La voiture dans laquelle il avait été froidement tué au Togo, initialement retenue pour des besoins d’enquête, reste introuvable à ce jour, au point que l’enquête ait été simplement bâclée, selon certaines sources, faute de pièces à conviction. Dans les quartiers malfamés de Lomé et de Libreville, ainsi dans les milieux cossus et hermétiques de la haute diplomatie, on chuchote à propos de la relation coupable que le diplomate gabonais entretenait avec la maîtresse attitrée de l’autre, le prince d’antan, suivez mon regard.
Un crime de lèse-majesté qui a visiblement mérité la sentence de mort, même habillée par tous les alibis invraisemblables.
Et comme il n’y a pas un sans deux, voici que l’ambassadeur du Togo au Gabon, vient de mourir dans une plage de la capitale gabonaise, quasiment sous les jupons d’une jeune fille de 31 ans sa cadette.
Accrédité depuis plus de 3 ans au Gabon, l’homme n’avait pas forcement bonne presse, réputé d’être un bon vivant et adepte ‘’des viandes fraîches’’. Sauf que visiblement, comme qui dirait l’autre, ‘’tous les oiseaux ne sont pas mangeables’’. Et c’est d’ailleurs ce que le chargé d’affaires gabonais au Togo, tristement cité plus haut, avait appris à ses dépens.
Trêve de spéculations, les conclusions de l’enquête sur la mort par noyade accidentelle, selon la version officielle, du diplomate togolais dans notre pays, restent très attendues, avant que la rue ne s’essaie dans une contre-expertise, visant à livrer sa part de vérité.