Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment
Accueil
News
Politique
Article
Politique

De Riyad à Rabat toujours pas d’images d’Ali Bongo
Publié le vendredi 30 novembre 2018  |  Gabon Actu
Clôture
© Présidence par DR
Clôture du 11e Congrès ordinaire
Dimanche 10 décembre 2017. Angondjé. Trois temps forts ont marqué la cérémonie de clôture du 11e Congrès ordinaire avancé du Parti démocratique gabonais : la plénière, la lecture du rapport général du congrès et la présentation du nouveau Secrétariat exécutif. Photo: Le Président, Ali Bongo Ondimba
Comment


Libreville – Le président gabonais, Ali Bongo Ondimba a été transféré très loin des caméras de Riyad vers Rabat (Maroc) dans la nuit de mercredi à jeudi pour une phase de convalescence et de rééducation, selon plusieurs sources.

Aucune image du chef de l’État n’a filtrée durant tout le mois qu’il a passé dans l’hôpital saoudien. Pas une seule aussi n’a transpiré à l’occasion de son départ pour Rabat au Maroc. Même l’agence de presse saoudienne SPA qui a annoncé son départ de Riyad n’a accompagné son texte d’aucune image de circonstance. La SPA a simplement indiqué que le numéro un gabonais a été salué à son départ par des officiels du ministère saoudien des Affaires étrangères.

Ce black out total, à l’heure du tout numérique, suscite des fantasmes. Plusieurs malins ont ventilé dans les réseaux sociaux des vieux clichés du président gabonais effectuant son pèlerinage à la Mecque. D’autres ont pondu des images de transfert aérien médicalisé, laissant croire que le scoop tant attendu est tombé.

Dans une interview exclusive mercredi dernier à Radio France internationale (RFI), le ministre de la Communication, porte parole du gouvernement, Guy Bertrand Mapangou a promis des images du président dans deux, trois jours voir une semaine. Les gabonais attendent.

Dans son arrivée dans la capitale marocaine, le président Ali Bongo a été conduit dans un hôpital spécialisé pour sa convalescence et entamer sa rééducation.

Camille Boussoughou
Commentaires


Comment