Contrairement à ce qu’a affirmé le Premier ministre gabonais Emmanuel Issoze Ngondet, Jeune Afrique ne l’a aucunement contacté afin de « mettre un terme » à la candidature aux législatives d’Alexandre Barro-Chambrier.
Les périodes électorales sont propices aux excès. Et les surenchères qui s’y pratiquent sont parfois surprenantes.
Le 25 octobre, à Awendjé, un quartier de Libreville, le premier ministre Emmanuel Issoze Ngondet était venu galvaniser les troupes du candidat du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir). Le candidat du parti présidentiel, Séverin-Pierre Ndong Ekomi, affrontera en effet ce samedi, lors du deuxième tour des législatives, l’un des très rares ténors de l’opposition encore en lice, Alexandre Barro-Chambrier (ABC), dans le 4e arrondissement de Libreville.... suite de l'article sur Jeune Afrique