Après le coup de frein donné fin juin aux dépenses publiques, Libreville poursuit dans sa politique de contraction budgétaire avec son projet de loi de Finances 2019.
« Optimisation des recettes » ; « allègement du train de vie de l’État » ; « restructuration de la dette intérieure » et « réduction des dépenses de personnel ». Tels sont les mots d’ordre du projet de loi de Finances que le ministre gabonais du Budget, Jean-Fidèle Otandault, a présenté au chef de l’État, Ali Bongo Ondimba, le 15 octobre en conseil des ministres.... suite de l'article sur Jeune Afrique