Au Gabon, la campagne électorale pour les élections législatives et locales jumelées du 6 octobre prochain s'ouvre ce 25 septembre. Les candidats ont donc dix jours pour convaincre les électeurs. Cependant, plusieurs d'entre eux ne participeront pas au scrutin. Saisie dans le cadre du contentieux préélectoral, la Cour constitutionnelle a invalidé 33 candidatures, en majorité de l'opposition.
Au Gabon, la décision de la Cour constitutionnelle d'invalider certaines candidatures pour les législatives du 6 octobre est tombée comme un arrêt de mort pour les 33 candidats qui en ont été victimes. Tous les états-majors des partis politiques qui ont été frappés sont restés tétanisés car les décisions de la cette institution sont incontestables et sans recours.
Le cas le plus emblématique est celui de l'opposante Chantal Myboto Gondjout, ancienne maîtresse de l'ex-président Omar Bongo, qui avait le vent en poupe dans le premier arrondissement de Libreville, la capitale.... suite de l'article sur RFI