Tête de liste du Parti démocratique gabonais (PDG) aux élections locales dans le département de l’Okano, Crépin Gwodog et ses colistiers ont présenté le 20 septembre 2018, aux ressortissants du département résidant à Libreville, leur vision pour le développement de l’Okano.
A cinq jours de l’ouverture de la campagne, Crépin Gwodog tente de séduire une partie des électeurs du département de l’Okano résidant à Libreville. Tête de liste du Parti démocratique gabonais (PDG) aux élections locales dans le département de l’Okano, Crépin Gwodog et ses colistiers ont présenté, le 20 septembre, à cette partie de l’électorat, les axes de leur projet pour le développement de l’Okano.
«Mes colistiers et moi tenons à fédérer les filles et fils des cantons Lalara, Okala, Doum et Doumandzou pour mutualiser les efforts des uns et des autres. Car, aucune œuvre humaine ne peut réussir s’il n’y a pas de solidarité. Et pour cela, nous y accorderons une attention particulière, car il n’est de richesses que d’hommes», a indiqué Crépin Gwodog.
Estimant avoir trop brillé par les paroles, malgré la matérialisation de certains projets, (l’école publique de Miang, Edock city, l’hydraulique villageoise, les forêts communautaires, le complexe culturel Zok de l’Okano, la tribune de Sam), Crépin Gwodog souhaite que la cadence de la transformation du département soit accélérée. Celle-ci doit se faire dans la «transparence, dans une approche apaisée, sereine et surtout basée sur l’écoute de tous les fils et fille de l’Okano», a-t-il souhaité.
«C’est dans cette optique que nous souhaitons procéder à une sorte de révolution pratique, qui semble être le seul et unique moyen de redonner confiance dans l’action des élus et dans les attentes des populations. Nous veillerons à ce que le prochain management du conseil, la gestion des subventions allouées dans le cadre de la décentralisation ou du FID au département, soient bien redistribuées en accordant une priorité aux projets nobles», a déclaré la tête de liste, assurant qu’avec l’équipe qu’il conduit au conseil département de l’Okano, «une autre gestion est possible».
Crépin Gwodog et ses colistiers appellent à une mobilisation de tous pour la transformation de l’Okano. «Nous ne devons pas manquer le rendez-vous du 6 octobre prochain. C’est pourquoi, je vous appelle tous à matérialiser notre projet. Ensemble c’est possible pour le développement de l’Okano».