La huitième (8eme) édition du Festival culturel d’Ikoy Tsini s’est tenue le jeudi, 16 août dernier, en après-midi, à la place des fêtes de Bikélé. Il a mobilisé comme toujours, suscitant d’années en années engouement. L’initiateur de ce rendez-vous culturel, M. Paul Biyoghe Mba, s’est dit prêt à soutenir les personnes désirant entreprendre dans le secteur agricole, le but étant de sortir le Gabon, à long termes, de la dépendance extérieure en la matière.
Les populations des différents arrondissements que compte le département du Komo Mondah, se sont données rendez-vous à la place des fêtes de Bikélé, à l’effet de communier ensemble non seulement, mais surtout, de vanter le mérite culturel des ressortissants et autres membres originaires de la banlieue Est de la ville de Livreville, dans la province de l’Estuaire.
L’instant communion, qui s’inscrivait dans le cadre de la 8eme édition du Festival culturel d’Ikoy Tsini, qui a réuni près d’une centaine de participants et acteurs majeurs dont les troupes de danses traditionnelles, les artisans, spécialistes de la médecine traditionnelle et autres producteurs agricoles, ont donné un cachet particulier audit événement culturel connu pour être un véritable vecteur de la flamme culture traditionnelle.
Prononçant le mot d’ouverture, Paul Biyoghe Mba, initiateur de l’événement culturel devenu une tradition, est revenu sur la portée significative desdites rencontres culturelles, tout en se réjouissant de ce que le Festicit suscite, au fil des ans, un engouement. Félicitant l’ensemble des participants, le doyen politique de la contrée s’est dit prêt à soutenir tous ceux qui veulent se lancer dans le secteur qu’est l’agriculture. Le but étant de contribuer, à long termes, à sortir le Gabon, et, principalement les gabonaises et gabonais, de la dépendance extérieure en la matière.
En plus des espaces aménagés pour recevoir les plus jeûnes, en quête de divertissement en cette période de vacances, le Festicit est parvenu, comme on le lui reconnaît désormais, à agrémenter l’instant loisirs des populations venues du département du Kimo Mondah, de la commune de Libreville et d’Akanda.
Ce fut également l’occasion donnée aux uns et aux autres, d’apprécier tous ceux des artistes locaux déterminés à rivaliser de talent.