Alexandre Barro Chambrier continue d’asseoir l’influence de son parti politique

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Publié le mardi 26 juin 2018 | Agence Gabonaise de Presse

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Alexandre Barro Chambrier, député du PDG

Libreville - Le président du Rassemblement héritage et modernité (RHM), Alexandre Barro Chambrier, a animé, samedi à Owendo (sud de la capitale gabonaise), une causerie politique, en prélude à la campagne électorale pour les législatives à venir. L’accent sur la nécessité de prendre part à ce scrutin était en bonne place.

En attendant l’ouverture de la campagne électorale, pas encore indiquée, dans le cadre des élections législatives prévues cette année, le président du Rassemblement héritage et modernité (RHM), continue d’asseoir l’influence de son parti politique à travers des causeries dans les quartiers.

Le week-end écoulé, Alexandre Barro Chambrier s’est rendu à Owendo pour échanger avec les populations de la commune. Occasion pour lui d’inviter les populations à demeurer positives dans l’issue des élections à venir. « La meilleure manière de consacrer l’alternance est de participer aux élections législatives parce que le pouvoir législatif est un maillon important », a-t-il indiqué.

Barro Chambrier estime, pour cela, que « les élections législatives, c’est l’occasion de dire non à ce pouvoir et de mettre des nouvelles personnes aux commandes ». La dynamique unitaire affichée par l’opposition en 2016 est l’essentiel à ne pas perdre de vue, a suggéré le patron du RHM.

« Nous avons en face des gens qui ont triché, perpétré un coup d’état militaro-électoral. C’est connu. Si nous n’avions pas été à l’élection présidentielle, nous n’aurions pas su que Jean Ping pouvait gagner », a argumenté le président du RHM, en réponse à ceux qui prônent le boycott. « Ceux qui veulent boycotter les législatives, on verra s’ils auront le même discours pour les locales », a-t-il lancé, invitant les populations à infliger au parti au pouvoir « une punition démocratique ».

Le patron du RHM a fait un clin d’œil à la diaspora pour son rôle assumé depuis l’élection présidentielle de 2016. Non sans appeler les populations à s’inscrire sur les listes électorales.

AMM/SM/FSS

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