Convaincu de ce qu’à l’horizon 2050, l’apport de la jeunesse dans l’amélioration de nos cités peut être précieux, le représentant-résident de l’Unesco au Gabon, Vincenzo Fazzino, a présenté, vendredi dernier, au maire de Libreville, Rose Christiane Ossouka Raponda, les enjeux d’un nouveau programme développé au sein des Nations-Unies.
LES villes peuvent-elles facilement être au pic de leur développement à l’horizon 2050 ? Au sein de l’Organisation des Nations-Unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco), cela s’envisage avec beaucoup d’optimisme. Du moment que la possibilité d’y associer la jeunesse se présente comme une opportunité.
Convaincu de ce que l’apport de la jeunesse dans l’amélioration de nos cités peut s’avérer précieux d’ici trois décennies, le représentant-résident de l’Unesco au Gabon, Vincenzo Fazzino a présenté, vendredi dernier, au maire de Libreville, Rose Christiane Ossouka Raponda, les enjeux d’un nouveau programme développé au sein des Nations-Unies. Celui-ci met en scène beaucoup de préfiguration, d’imagination et de définition de ce que sera, par exemple, Libreville dans un proche avenir.
« Ce programme qui constitue, en réalité, un laboratoire d’idées, offre la possibilité aux jeunes issus d’une localité de pouvoir se réunir ensemble et d’imaginer, par processus d’intelligence collective, ce que sera l’avenir de la ville et le monde à l’horizon 2050 », a expliqué Vincenzo Fazzino.