Au Centre hospitalier universitaire de Libreville, l’accueil et la prise en charge des malades dans certains départements, à l’exemple des urgences pédiatriques, du service d’endocrinologie ou de la maternité C, s’effectuent sans qu’aucun problème ne se pose. Dans d’autres, par contre, la situation commence à changer une fois les douze coups de midi sonnés.
Santé/Grève dans les hôpitaux du secteur public
AU Centre hospitalier universitaire de Libreville (Chul), comme chaque jour les malades affluent par dizaines dans l’espoir de recevoir des soins de qualité de la part d’un médecin expérimenté. Hélas, le contexte de grève actuel dans lequel se trouvent les agents officiant dans les hôpitaux du secteur public, et affiliés à divers syndicats, ne vient nullement arranger les choses.
Depuis plus de deux mois déjà, c’est le service minimum qui est prôné dans ceux-ci. Même, le constat fait hier dans quelques-unes de ces formations sanitaires, après celui d’il y a un mois, laisse une fois de plus remarquer que ledit service minimum reste toujours différemment suivi, d’un pool à un autre.