L'État gabonais et l'entreprise française sont toujours à couteaux tirés, malgré la conciliation amorcée à Paris, suite à la réquisition par le gouvernement gabonais de la Seeg, filiale de Veolia.
Bien qu’en conciliation, depuis le 7 mai, devant le Cirdi (tribunal arbitral de la Banque mondiale), le Gabon et Veolia restent en conflit. En février, le ministère de l’Eau avait réquisitionné la Société d’énergie et d’eau du Gabon ( Seeg), filiale du groupe français.
Le 29 mai, le ministre Patrick Eyogo Edzang a donné son accord à Veolia pour que se tienne en juin l’Assemblée générale de la Seeg, tout en interdisant au patron de cette société, Marcelin Massila-Akendengue de l’organiser.... suite de l'article sur Jeune Afrique