Politique
La classe politique scindée après la dissolution de l’Assemblée
Publié le mercredi 2 mai 2018 | RFI
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© Autre presse par DR
La présidente de la Cour constitutionnelle du Gabon, Marie-Madeleine Mborantsuo, lors d`une audience à Libreville en 2016. |
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La sphère politique gabonaise est divisée après la décision inattendue de la Cour constitutionnelle, réputée pour être acquise à la majorité présidentielle, mais qui a exigé lundi 30 avril la démission du Premier ministre Emmanuel Issoze Ngondet et de son gouvernement, ainsi que la fin des pouvoirs de l'Assemblée nationale. Un choix justifié par le fait que les élections législatives auraient dû se tenir, au plus tard, le 30 avril 2018. Ce qui n'a pas été le cas.
D’ici la tenue des législatives, ce sont les sénateurs qui se chargeront de légiférer à la place des députés. Quant à l'actuel gouvernement, il sera remplacé par un nouveau, nommé intégralement par le président Ali Bongo. ... suite de l'article sur RFI
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