Mis en examen cette semaine en France pour corruption d’agent public étranger dans l’attribution des concessions portuaires de Conakry et Lomé, l’industriel se défend ce matin dans les colonnes du Journal du dimanche (JDD). Une tribune qui ne porte pas sur le fond du dossier, dont il ne dit pas grand chose, mais l’homme d’affaires joue sur la fibre des sentiments et va même jusqu’à se demander s’il va pas devoir quitter l’Afrique.
Dans cette tribune publiée dans les pages «Opinions» du journal, on y lit un Vincent Bolloré éprouvé par « les deux jours pénibles » de sa garde à vue, deux jours pendant lesquels il dit avoir découvert des témoignages et des documents dont il n’avait jamais entendu parler avant.