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Traitement des ordures ménagères : Bientôt une usine à Libreville et Port-Gentil
Publié le mercredi 11 avril 2018  |  Gabon Review
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© Autre presse par DR
Le "waz des vacances" pour lutter contre l’insalubrité
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Le projet de construction de deux usines de traitement des ordures ménagères au Gabon, dont une à Libreville et une autre à Port-Gentil, se précise. Les discussions entre le groupe espagnol Actuatech et l’Etat gabonais seraient bien avancées.



Les discussions seraient bien avancées entre l’Etat gabonais, représenté par le vice-président de la République, et Actuatech. Après une précédente réunion au palais du bord de mer à Libreville, le 20 février dernier, Pierre-Claver Maganga Moussavou et les représentant du groupe espagnol, d’après la presse présidentielle, se sont accordés pour la construction de deux usines de traitement des ordures ménagères au Gabon, dont une à Libreville et une autre à Port-Gentil.

Au cours de leur seconde réunion, lundi 9 avril à Libreville, les deux parties ont réfléchi sur la date possible du démarrage des travaux dans ces villes confrontées depuis des années à des difficultés dans la gestion de leurs ordures ménagères, notamment faute d’usine de traitement et de recyclage. Si José Luis Marijuan, représentant d’Actuatech, a assuré de la disposition de son groupe à lancer «à très court terme» les chantiers, avec les autorités gabonaises, les discussions ont prioritairement tourné autour du business plan, en vue de la matérialisation du projet dans les meilleures conditions.

De décembre 2017 à février dernier, d’autres sociétés internationales s’étaient intéressées à la gestion des ordures ménagères au Gabon. Il s’agit notamment de Shandong Manguo Kangjie Sanitation Group qui, le premier, avait exprimé à Pierre-Claver Maganga Moussavou sa volonté de recycler les ordures ménagères, en exportant les déchets récoltés à travers le pays vers son usine en Chine, qui se chargera de leur donner une deuxième vie. Les Marocains du groupe SOS avaient quant à eux présenté leur projet «écologique» des décharges publiques au ministre de l’Intérieur.
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