Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Gabon    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Afrique
Article




  Sondage



 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Afrique

La BAD tâche de demeurer au cœur de la transformation socio-économique de l’Afrique
Publié le mercredi 30 avril 2014   |  Agence de Presse Africaine


Mamadou
© Autre presse par DR
Mamadou Lamine N’Dongo, représentant résident de la Banque Africaine de Développement (BAD) à Dakar


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

Dakar (Sénégal) - La Banque africaine de développement (BAD) tâche de demeurer au cœur de la transformation socio-économique de l’Afrique et de l’édification d'une société équitable et inclusive, a déclaré mercredi à Dakar M. Mamadou Lamine N’Dongo, représentant résident de cette institution africaine à Dakar.

M. N'Dongo qui rencontrait le Collectif des journalistes économiques du Sénégal (COJES) en prélude au lancement des 50 ans d'existence de la BAD, a décliné la nouvelle stratégie décennale adoptée en 2013 et qui repose sur
« la vision d'une Afrique nouvelle qui aspire à la stabilité, un continent intégré et prospère doté d'économies compétitives, diversifiées et durables ».

M. N'Dongo a aussi tiré le bilan des 50 ans de présence de l'institution financière en Afrique, estimant qu'en termes de résultats les impressions concernant le continent ont beaucoup changé.

« L'afro-pessimisme a cédé la place à l'afro-optimisme », estime-t-il.

Selon toujours le représentant résident de la BAD, l'Afrique enregistre aujourd'hui des performances enviables. Il en veut pour preuve que de 2000 à 2010, dix des économies à la croissance la plus rapide au monde se trouvaient en Afrique.

« Mieux, avance M. N'Dongo, d'après plusieurs prévisions, dans les cinq prochaines années, sept des dix économies à croissance plus rapide au monde seront africaines ».

En dépit de ces progrès, il est d'avis que certains fléaux restent fortement présents sur le continent comme le chômage, la pauvreté, les inégalités, des jeunes désespérés et des conflits internes.

« Par conséquent, il reste encore beaucoup à faire », affirme M. N'Dongo

MS/od

 Commentaires