Le président de la République a compris que l'efficacité d'une action publique repose également sur le niveau des ressources financières à mobiliser. Ce qui est fait. Il revient maintenant au Premier ministre de matérialiser le "Pacte social" à travers des textes juridiques et réglementaires, tout en pensant à bien choisir les hommes et femmes qu'il faut pour conduire efficacement ce projet.
Assises sociales du Gabon
L'UN des engagements accueillis avec satisfaction par l'opinion nationale au terme des assises sociales qui se sont tenues les 24 et 25 avril 2014 à Libreville demeure, à n'en point douter, la décision prise par le président de la République, Ali Bongo Ondimba, de consacrer 250 milliards de francs au financement de la politique sociale.
Un engagement fort apprécié des Gabonais, vu qu'il apparaît comme une affirmation tangible de son ambition de parvenir à transformer les conditions de vie de ses compatriotes.
Ces 250 milliards serviront à financer la politique sociale, notamment à travers les filets de protection économique et les transferts solidaires, le développement des activités génératrices de revenus, la mise en place d'un fonds pour micro-crédit et l'amélioration du service public de l'emploi.