Invité le week-end dernier aux festivités marquant le premier anniversaire du parti, "Les Démocrates", cet universitaire qui se réclame de la société civile, a longuement développé le thème ''malentendu et controverses sur un agenda politique national''.
A l'occasion de la célébration du premier anniversaire, samedi dernier, de "Les Démocrates", parti politique présidé par Guy Nzouba Ndama, l'universitaire Noël Bertrand Boundzanga, un acteur de la société civile et membre du ''Club 90'', a été invité à s'exprimer dans le cadre de la conférence-débat organisée pour cette circonstance.
Le thème portait sur la participation ou non de la Coalition pour la Nouvelle République (CNR) aux prochaines Législatives. Un sujet qu'il juge complexe. En ce sens qu'il expose l'opposition dite radicale, à une ''violente auto-contradiction''.
Ainsi, le conférencier entame son exposé sur une interrogation aux allures rhétoriques. Celle de savoir comment appuyer la participation d'une activité organisée par un pouvoir dont on conteste la légitimité, sans toutefois le légitimer ? D'autant que ce qui poserait problème, à son avis, n'est nullement la participation proprement dite, mais plutôt les conséquences de celle-ci, selon l'interprétation que l'on voudrait en faire. L'opposition, pour sa part, la considère comme un acte installant le régime dans ce qu'elle lui refuse.