Libreville - Le ministre de la Famille et de la Protection de l’enfance, Josué Mbadinga, a indiqué, le mercredi 7 mars à Libreville, dans son discours à cet effet, que le Gabon célébrera la journée internationale de la femme le 17 avril prochain, au cours de la célébration de la journée nationale de cette frange de la population, sous le thème ‘’prise en compte des femmes rurales et autochtones : gage d’un développement inclusif et durable’’.
La thématique du Gabon ‘’ prise en compte des femmes rurales et autochtones : gage d’un développement inclusif et durable’’, qui est en phase avec celle retenue par la communauté internationale, vise à soutenir la dynamique en actions, en faveur de l’autonomisation des femmes dans tous les contextes (ruraux et urbains), et de rendre hommage à toutes les femmes et à tous les hommes qui ont œuvré à l’amélioration des conditions de vie de la femme gabonaise.
A cet effet, lors de la déclaration relative à la célébration de la journée internationale de la femme, le ministre de la Famille, Josué Mbadinga, a indiqué que la commémoration active de celle-ci, ce 8 mars 2018, sera jumelée avec la célébration de la journée nationale de la femme dans notre pays le 17 avril prochain.
« Ce sera l’occasion, sous le thème national retenu, de dérouler toutes les activités programmées à l’effet de la commémoration de ces deux journées dédiées à la femme. Il s’agit, entre autres, des conférences-débats sur les peuples autochtones ; d’un atelier de sensibilisation sur les droits fondamentaux des femmes de façon générale », a-t-il annoncé.
Il est prévu également la diffusion d’une brochure sur les femmes et les hommes qui ont œuvré et œuvrent pour la promotion de la femme gabonaise ; de la réalisation d’un publi-reportage sur ces femmes et ces hommes, ainsi que l’organisation d’une foire exposition /vente des savoirs faire ruraux et autochtones. Laquelle sera appuyée par une formation aux techniques des produits des terroirs.
Par ailleurs, d’autres activités parallèles sont prévues, en l’occurrence l’enregistrement des femmes n’ayant pas de cartes d’identité nationale et celles n’ayant pas été immatriculées à la Caisse nationale assurance médicale et de garantie sociale (Cnamgs).